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En 1988, Hervé Di Rosa apprend le lapsus d'un enfant à la sortie de son exposition au Musée d'Art moderne, le nommant « Musée d'Art modeste ». Enchanté de cette confusion, il prend soudain conscience de son goût pour les choses de tous les jours : les gadgets, les figurines, les cerfs-volants, les panneaux publicitaires... Tant d'objets dont il souhaite légitimer la présence au sein de l'art, de la rue, jusque dans les musées : un art ne rejettant rien et à la portée de tous.
Dans L'art modeste, il en propose une définition imagée en vingt-six temps. Ayant l'allure d'un manifeste, ce livre vient s'ajouter aux convictions de l'artiste qui tisse des liens entre art contemporain et art du commerce, mais également entre formes artistiques venues d'autres cultures et libéralisme mondialisé. De son oeuvre émerge un immense élan de générosité envers les communautés qu'il découvre à travers le monde. Les artisans et artistes locaux sont invités à participer à ses projets et donner ainsi de nouvelles couleurs à sa production. Au-delà de cette recherche de l'ailleurs et du métissage, Di Rosa invite le monde à redécouvrir le charme des petits riens du quotidien.
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