80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Roman «Samedi 7 septembre : fonce illico au bar à tapas et me mets en devoir de les éblouir avec ma beauté frappante et mon intelligence innée. L'un est assez vieux pour être mon père mais n'arrête pas de me payer des téquilas (pigeon). L'autre est vraiment gentil et m'offre une rose (benêt). Le dernier est un beau et ténébreux Italien qui essaie de m'ignorer (salaud).» Katya fait tourner le monde en bourrique : avec sa langue de vipère et ses attitudes de princesse on ne se risquerait pas à lui donner le bon Dieu sans confession. Il faut dire qu'elle y va fort : rien ne résiste à ses colères et ses coups bas.
Rien, ni personne, d'ailleurs. Employeurs, amis, amants ; tous en prennent pour leur grade, dans ce journal au vitriol d'une célibataire londonienne portée sur l'alcool, l'argent et les hommes. Quant au bonheur, c'est une autre paire de manches...
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