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L'almanach du Limousin 2011

Couverture du livre « L'almanach du Limousin 2011 » de  aux éditions Communication Presse Edition
Résumé:

Issu d'une famille d'artisans de Châlus du côté de son père, d'une famille d'ouvriers porcelainiers de Saint-Yrieix du côté de sa mère, il est né le 3 mai 1914 à Limoges. C'est donc un pur haut-viennois. Entre 1919 et 1931, c'est au lycée de Limoges qu'il fait ses études, interrompues... Voir plus

Issu d'une famille d'artisans de Châlus du côté de son père, d'une famille d'ouvriers porcelainiers de Saint-Yrieix du côté de sa mère, il est né le 3 mai 1914 à Limoges. C'est donc un pur haut-viennois. Entre 1919 et 1931, c'est au lycée de Limoges qu'il fait ses études, interrompues malheureusement par la maladie. Mais à dix-sept ans, il avait eu le temps de découvrir la philosophie. C'est cependant vers la poésie qu'il se tourne grâce à ses jeunes professeurs. Et, dès 1933, il se met à composer des poèmes et de nombreux textes en prose. Il participe même à la revue Les Cahiers du Sud. Marié, il va à Paris pour rejoindre sa femme en 1939, mais doit retourner en Limousin l'année suivante pour des raisons que l'on devine aisément. Il reprend alors le cours de ses études. A la faculté des Lettres de Poitiers d'abord, puis à celle de Toulouse. A Alger ensuite, où il entre au comité de rédaction de la revue Fontaine, dirigée par Max-Pol Fouchet. Revenu en Limousin, à Saint-Léonard de Noblat plus précisément, il fait la rencontre de Raymond Queneau et de Michel Leiris. Poursuivant ses rencontres littéraires, il fait la connaissance de Claude Roy, de Pierre Seghers, de Loys Masson et de Pierre Emmanuel. C'est dans une totale clandestinité qu'il doit transmettre à Max-Pol Fouchet les textes des écrivains de la France occupée. Lorsque survient la Libération, Georges-Emmanuel Clancier est chargé des programmes de Radio-Limoges et devient journaliste au Populaire du Centre. Que ce soit à la radio ou dans le journal, il s'intéresse de près à la peinture des jeunes de l'école de Paris. Il crée alors la revue Centres, avec Robert Margerit et René Rougerie. Chez ce dernier, il dirige une collection de poèmes manuscrits, Poésie critique, qui comprend notamment des poèmes de Jean Lescure, de Boris Vian et de Claude Roy. Suite dans votre Almanach 2011

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