« Nous préférions le dessin à la peinture. Le crayon n'était jamais assez dur, jamais assez pointu pour rendre les contours avec fermeté et justesse, jusque dans leurs moindres détails. Courbé sur sa boîte de couleurs pas plus grande qu'un morceau de papier, chacun cherchait à exécuter avec une application minutieuse ce qu'il voyait devant lui. Amoureux de chaque brin d'herbe, de chaque menu rameau, nous ne voulions laisser échapper aucun de leurs attraits. ».
Ludwig Richter, Souvenirs d'un peintre allemand, 1885.
La période romantique en Allemagne voit s'épanouir chez de nombreux créateurs un génie du dessin. Parmi l'inestimable collection d'arts graphiques des musées de Weimar, l'ouvrage présente une sélection de 139 feuilles dues à des artistes majeurs, offrant ainsi un panorama de ces temps foisonnants où expérimenter et ressentir ont été les mots d'ordre.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !
