80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Depuis toujours, les artistes ont convergé vers les foyers de civilisation que sont certaines villes et ont voulu les représenter, ce qui n'exclut nullement de leur part l'expression d'inquiétudes sur ce que pourrait devenir la cité victime d'un développement anarchique ou d'utopies urbanistiques.
Réelle ou imaginaire, déserte ou habitée, la ville est présente dans toute l'histoire de l'art, depuis les fresques de Pompéi jusqu'à nos jours. Après avoir publié L'art dans la ville, Jean-Luc Chalumeau s'attache ici à cette présence constante de la ville dans l'art, montrant notamment que les artistes ont souvent été sensibles à la "désespérante fragilité de la ville" (Charles Baudelaire). Entre les cas extrêmes de Goya, déployant avec complaisance le panorama prestigieux de Madrid, et de Jacques Monory, s'attardant sur la ville d'Hiroshima brutalement anéantie, une immense gamme de possibilités d'interprétations a été utilisée par les artistes, dont ce livre cherche à présenter un ensemble d'exemples significatifs.
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