"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
printemps égale renaissance.
claire fourier a choisi d'achever la suite des quatre recueils de haïku avec les poèmes consacrés au printemps. renouveau de la végétation qui entraîne le réveil du plaisir de vivre et, dans la foulée, le réveil de l'humeur coquine. après la solitude et la tristesse de l'hiver, voici la chair de bonne humeur, elle a envie de batifoler : mieux vaut être sur la terre que dessous. primavera oblige, les racines font place aux primeurs et la rumination au tempérament primesautier.
régénéré, le corps s'anime : leste, fou de désir, il réclame l'amour, de le faire, de le dire. on jette la mélancolie aux orties. les robes virevoltent, le jardin se dévergonde, explose de couleurs vertes et roses. alors la plume aussi virevolte, se dévergonde, devient verte comme l'air, rose comme un jupon, autrement dit : enjouée, espiègle, pétillante, ludique, gentiment canaille. la valse libertine constitue un roman-haïku plein de sourires, d'invitation aux ravissements de l'amour et à la joie de vivre.
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