80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Le 11 septembre 1973, un coup d'État orchestré par les Forces Armées chiliennes mit fin à trois années de gouvernement socialiste dirigé par Allende. Pinochet, à la tête du putsch, installa au pouvoir une violente dictature militaire qui dura dix-sept ans. Événement synonyme de trauma et instigateur d'une période répressive, ou sauvetage national venant freiner la descente aux enfers socialistes? La mémoire de la société chilienne demeure fragmentée vis-à-vis de son passé récent. Cette étude cherche à définir la transmission intergénérationnelle de la mémoire du passé répressif. Menée sur deux fronts, soit à Santiago et à Montréal, la présente recherche s'applique à établir quelles sont les interprétations du passé de la génération « postmémoire ». Les représentations, les perceptions et les canaux d'apprentissage sont mis en perspective selon le territoire, afin de dégager les discours communs et antagonistes. Les différentes versions du passé sont présentées selon vingt-huit témoignages. Cette recherche s'adresse principalement à tous ceux qui s'intéressent aux problématiques liées à la mémoire, à la dictature, au Chili et à l'exil.
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