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En 1946, Jacques Sternberg a 23 ans.
Il écrit avec frénésie des romans qui se heurtent aux refus secs et sans appel des éditeurs.
Il en sera ainsi jusqu'à 1954, lorsqu'un jeune éditeur belge, Éric Losfeld accepte enfin un de ses textes.
«La sortie est au fond du couloir», rédigé en 1946 fait partie de ces livres apparemment voués à l'oubli, jusqu'au jour où il resurgit des documents remis à la Bibliothèque Nationale par Jean-Pol Sternberg.
Bernard French-Keogh se met en tête de faire quelque chose avec cette histoire étrange où Sternberg dit tout le mal qu'il pense des éditeurs. Le tapuscrit circule, des initiés, des proches ont connaissance de son existence et, grâce à Éric Dejaeger, un passionné de l'oeuvre de Sternberg, proposition est faite de publier l'ouvrage chez Cactus Inébranlable éditions.
L'enthousiasme des proches de l'auteur et des spécialistes agréés facilitera la réalisation de ce projet ambitieux.
Donner une vie à ce texte ne sera pas si simple. Certains feuillets ont disparus, certains mots dans le manuscrit dactylographié sont illisibles, sans doute est-ce l'oeuvre du temps, mais aussi des corrections qui se superposent, mais l'ensemble est un véritable roman.
Huit ans après la mort de l'auteur et soixante-huit ans après sa rédaction, la publication de La sortie est au fond du couloir est un véritable événement qui ravira les amateurs, mais devrait permettre à une nouvelle génération de lecteurs de découvrir celui qui après Georges Simenon et Henri Verne demeure l'auteur belge le plus vendu à travers le monde. même si ce n'est pas ce qu'il cherchait de son vivant.
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