80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Face à la persistance des inégalités et des discriminations dont font l'objet, dans nos sociétés contemporaines, des groupes d'individus en raison de certaines de leurs caractéristiques (genre, orientation sexuelle, ethnie, situation sociale), la question se pose de savoir d'où viennent ces discriminations, quelles formes elles prennent dans des sociétés démocratiques basées en principe sur l'égalité des droits, et comment les mettre au jour et les combattre.
Construit comme un dialogue entre deux chercheuses spécialistes d'aires culturelles différentes (France et États-Unis), cet ouvrage tente d'apporter des réponses à ces questions en croisant les apports de plusieurs disciplines - la science politique, l'histoire, les études culturelles et en confrontant l'un à l'autre des paradigmes interprétatifs relevant eux-mêmes de généalogies spécifiques : l'« universalisme des différences » (Virginie Martin) d'une part, et l'intersectionnalité d'autre part. En mettant en lumière l'apport de ces concepts pour penser de manière critique la construction historique, politique, culturelle politique des inégalités et des formes de discrimination voire d'exclusion qu'elles peuvent engendrer, il s'agit de rappeler comment celles-ci s'articulent à des mobilisations, à des luttes et à des revendications dont les mouvements féministes ont pu être les puissants relais, avec des avancées notables au cours de l'histoire récente mais avec aussi des résistances fortes et persistantes au sein même des sociétés contemporaines.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année