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Sûr, ce livre dort.
Un poète empiète sur sa berge de lettres, y pose sa prose, mot rose, et, en marge d'une île... le cygne. C'est là sa couverture et son double incarné, scellant sac où Vers tue Raison. d'où, bleu, un carnet. C'est là d'où il arrive tandis qu'il s'insinue dans ces pages, tandis qu'il surgit sans que lui, qui l'héberge d'un rêve, ne s'insurge. C'est là son refuge. Il sort du fleuve avec, sous l'aile, un petit bout de scène.
D'imbriquer une étincelle. et le livre s'éveille. À battre le « je », la baie cède et le fleuve d'encre se met à déborder. Une lettre part à Montpellier et l'on perd le carnet. Je n'ai pas pied, je bois la tache.
Le fleuve fuyant se change en océan essuyant un mauvais grain : un grain de sable, un grain argenté, un grain de lumière, un grain de beauté ailant une page d'un écran où ils brillent pour y projeter, vannés, ça.
Et le cygne s'en va.
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