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La nuit immobile est dernier volet de la trilogie qu'Alfons Cervera consacre à la mémoire des vaincus de la Guerre civile. Si la trilogie est une chronique d'un village de la province de Valence sous le franquisme, chacun des romans le fait depuis le point de vue d'une génération : La couleur du crépuscule montre le point de vue des enfants, Maquis celui des parents, et La nuit immobile se centre sur la génération des grands-parents.
Le vieux Félix et María ont perdu un fils, mort de pneumonie à son retour de la guerre du Maroc. Depuis María est devenue sourde, et Félix vit une longue nuit immobile, restant assis sur le seuil de sa porte, à converser avec sa petite-fille Sunta (l'héroïne de La couleur du crépuscule) et avec les amis qui lui rendent visite, ou bien dont il entend les voix.
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