80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Voici le dernier recueil de la trilogie de contes de Fiona Mac Leod. On y retrouvera cet élément d'étrangeté et de bizarre dans la beauté, cette noire mélancolie, ce regret d'un monde en train de disparaître, Mélange de lumière et cl'ombres brisées, ces cris poignants emplis de larmes montent avec un crépuscule qui ne semble pas laisser la place au jour. Ces pages d'une terrible beauté, originales par leurs couleurs locales et par leur langue poétique aux cadences empruntées au gaélique écossais, chantent le destin à l'oeuvre avec la folie.
Ces souffles de mauvais augures dont la menace, dont l'ombre saturent la plupart de ces lignes semblent avoir été exhalés par quelqu'un qui répète avec une curieuse et inlassable insistance une mélodie obsédante, familière et pourtant toujours sauvage, semblable à ces vagues qui inlassablement viennent heurter les mêmes rochets...
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