80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
"Pablo a le coeur au gris. Cinq heures de l'après-midi, un samedi de novembre, et pas une toile vendue. Il prend Zébulon dans ses bras, éteint la vitrine de la galerie et disparaît dans la nuit de son arrière-boutique qui est son atelier.
Elle est âpre la condition de l'artiste dans une petite ville de cure au milieu des années 1970. La galerie Tassigny est une survivance de l'âge d'or de Saint-L. Un temps à jamais perdu où des maharajas et des ministres plénipotentiaires venaient prendre les eaux dans la station thermale la plus chic du Second Empire et disposaient de tout leur temps de seigneurs en villégiature pour faire de « la saison » une aubaine pour le commerce local. Les galeries d'art y furent légion jusqu'au milieu du vingtième siècle. Celle de la rue de Lattre jouxte d'un côté une brasserie élégante, Le Tassigny, et de l'autre la boutique d'un confiseur qui vend des sucres d'orge dans des bonbonnières en porcelaine."
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