80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Le thème de la mort a été récurrent dans la littérature et ce depuis l'antiquité jusqu'à nos jours. Lorsqu'on voit que la mort réduit l'être humain à l'impuissance, au néant, quel que soit son rang social et quelle que soit sa race comme le souligne avec force détails Bossuet dans ses oraisons funèbres, on se demande si la vie vaut la peine d'être vécue. Le présent ouvrage est à la fois un hommage à Mwamba Cabakulu et une réflexion sur la thématique de la mort. Certes, Cabakulu s'en est allé, mais non à la manière d'un ver de terre ; mais plutôt à la manière d'un mille-patte qui disparaît en laissant des traces : une riche production scientifique. Ainsi, ceux qui écriront demain l'histoire de la littérature africaine retiendront certainement que le critique Mwamba Cabakulu est tombé, pour ainsi dire, la plume à la main, sur le champ de la recherche scientifique, en vaillant chercheur engagé.
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