"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
À peine arrivé à Alticcio, Golgoth provoque un incident diplomatique dont les conséquences compromettent gravement les chances de la Horde d'atteindre l'Extrême-Amont. Confronté aux intrigues de cours et à la disparition d'un Caracole soupçonné de traîtrise, Sov affronte pour la première fois de son existence les véritables enjeux politiques de la mission qui leur a été confiée.
Eric Hennicot a osé adapter « La Horde du contrevent », un roman-monument d’Alain Damasio, et s’en tire plutôt bien.
Il s’appuie sur les temps forts qui rythment le périple de La Horde pour traiter dans ce 4 ème opus le passage par la citée d’Alticcio avec les luttes de pouvoirs et d’influences ; et l’obligation / condamnation, après un coup de sang du Gogoth (le traceur de la Horde), de passer par un tournois (comme au moyen âge) avec trois épreuves qu’il faut gagner afin de poursuivre le périple et avoir l’autorisation de passer des écluses dès que possible pour ne pas perdre de temps et ne pas être rattrapé par « la poursuite » …
Ce volume pourrait presque se lire de façon autonome … mais ça serait dommage ! Il faut commencer par le début et ne pas oublier la version roman de Damasio qui vaut le détour.
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