"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Arthur Doffre, milliardaire énigmatique, est sur le point de réaliser un rêve vieux de vingt-cinq ans : ressusciter un tueur en série, le Bourreau 125, dans un livre. Un thriller que David Miller, embaumeur de profession et auteur d'un premier roman remarqué, a un mois pour écrire contre une forte somme d'argent.
Reclus dans un chalet en pleine Forêt-Noire, accompagné de sa femme et de sa fille, de Doffre et de sa jeune compagne, David se met aussitôt au travail. Mais il est des fantômes que l'on ne doit pas rappeler...
Huis clos oppressant, suspense diabolique, plongée violente dans les tréfonds de l'âme humaine. Olivier Delcroix - Le Figaro
David Miller, 2006, thanatopracteur, se voit proposer la proposition de sa vie, écrire un livre contre beaucoup d'argent, Arthur Doffre, milliardaire rêve de faire ressusciter, le bourreau 125, un sérial killer. Mais tout va se passer comme prévu.
Au début, j'ai pensé que c'était une histoire harcèlement, déjà cela me plaisait beaucoup mais cela à tourner vers un huis clos, une cabane au milieu d'une forêt entourée de Lynx.
Déjà le lieu fait vraiment peur, c'est la célèbre forêt noire en Allemagne, mais l'auteur as rajouter d'autres aspects qui font encore plus vraiment frémir.
C'est un récit addictif comme sait bien le faire l'auteur, mais pas seulement, on est plongée dans l'antre de la folie, les délires d'un homme qui as mis tout en ordre pour terrifier ses semblables.
Comme d'habitude, avec cet écrivain, le scénario est extrêmement bien construit, pendant toute ma lecture, je me suis dit ils ne vont pas s'en sortir.
La thématique de la psychologie est très présente, mais que, les secrets, et cette histoire de serial killer et aussi le handicap, tout cela fait un mélange étonnant qui en as fait une lecture vraiment palpitante et passionnante.
C'est mon huitième livre de l'auteur, c'est un one shot, et franchement j'aime toujours autant, bientôt je vais reprendre avec ma comparse la saga Sharko/Hennebelle, mais il est aussi talentueux avec cette saga et que hors-série.
Je remercie Chabe37 de m'avoir choisi ce livre, j'ai passé un moment de lecture très frissonnant, mais ça va du bien parfois.
Ce n'est pas le premier Franck Thilliez que je lis, mais le pire de lui que j'ai lu ... Ceci pour plusieurs raisons l'histoire de prime abord David qui est contacté par Arthur homme excentrique qui demande à celui-ci de venir dans un chalet lugubre à souhait avec sa femme et son enfant écrire un livre, chalet où l’on fait des expériences sur des cadavres de cochons, qui a été construit autour d’un arbre imposant qui produit un tas de bruits épouvantables et bien sûr dans une partie de la forêt où les communications ne passent pas ... Et les personnages disent oui pensant que cela va régler leur divers problème ...
Dès qu'ils acceptent tout ce qu'on s'imagine, va bien évidemment arriver. Les personnages à part Adeline qui a l'air un peu moins hystérique que les autres, tous exécrables . La violence : je ne suis pas contre si elle apporte quelque chose à l'histoire un suspense par exemple, mais là, c'était juste gratuit et cela n'apporte rien au roman si ce n'est des pages en plus. Le pire la fin, non mais les personnages qui ont toutes les réponses depuis le départ entre les gens avec qui ils sont , le lieu et même les photos, aucun ne devinent quoique ce soit alors qu'ils sont en plus enfermés à huit clos tous ensemble .
Fin de lecture, je sors de la forêt des ombres et je me joins aux personnages, moi aussi, j'ai besoin d'un peu de temps pour m'en remettre ...
Il m’est toujours assez difficile de remonter des profondeurs thilliesques tant chacune des histoires de Franck Thilliez nous entraîne vers les bas-fonds de l’âme humaine. Là encore, il nous prouve que son univers est peuplé de démons à figure humaine, aux préoccupations démentes.
La Forêt des Ombres est un one-shot, nous ne retrouvons pas pour cette fois le duo Sharko/Hennebelle. Un autre couple est à l’affiche: David et Cathy Miller, et leur enfant de deux ans Clara. Lui est thanatopracteur et écrivain, elle en recherche d’emploi. Depuis un mois, ils sont harcelés par les lettres d’une certaine Miss Hyde au contenu on ne peut plus explicite, mettant David dans une sale posture de mari trompeur… Cathy n’est pas en reste toutefois : elle lui dissimule un avortement des suites d’une aventure avec le meilleur ami de David… Alors que la situation du couple est on ne plus tendue, David se voit proposer par un vieil infirme inconnu une offre aussi inattendue qu’alléchante… Arthur Doffre, ainsi dénommé, qui souhaite « abandonner son enveloppe charnelle pour renaître par l’intermédiaire d’un roman », jette son dévolu sur David pour la rédaction en échange d’une forte somme d’argent. La seule contrainte pour David et sa famille serait de l’accompagner dans un chalet en pleine Forêt Noire un mois durant … Des »vacances » selon l’infirme… Le couple se laisse tenter, dans l’espoir d’une part d’échapper à cette Miss Hyde, et d’autre part de se retrouver…
Doffre voulait offrir à David « un endroit qui stimulerait l’imagination » : le lieu est vraiment bien choisi… En Allemagne, dans l’atmosphère sombre et pesante de la Forêt Noire, un chalet immense, transpercé en son centre par un chêne tricentenaire….perdu au milieu de nulle part, dans une tempête de neige… Aux alentours rôdent des lynx mais pas seulement… Mais le pire est à l’intérieur laissé par les précédents locataires, des chercheurs en entomologie forensique… L’isolement fera son office : les relations entre les personnages sont conflictuelles et s’enveniment facilement, l’angoisse monte crescendo… Si Franck Thilliez excelle dans son domaine, on pense vite au Shining de Stephen King et à Misery également : on sent l’influence du maître là-dessous… Et ce n’est pas un mal…
Je ne trouve pas que ce livre soit un des meilleurs de Franck Thilliez, loin de là… Mais il est très prenant, fascinant à bien des égards, et l’atmosphère pesante entraîne le lecteur dans un cauchemar abominable, comme on les aime…
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AVIS SUR LA VERSION AUDIO
Quand un auteur de thrillers fait très bien son boulot mais sans plus, ça donne un roman attendu, sans réelle surprise et pour tout dire assez décevant pour moi qui en espérait bien plus.
Quand David Miller, thanatopracteur de son état et auteur de thrillers à ses heures perdues, est invité avec son épouse à séjourner dans le chalet loué par un milliardaire en pleine Forêt noire pour faire revivre sous sa plume un célèbre serial killer, il ne faut pas avoir un esprit particulièrement aiguisé pour sentir qu’il aurait mieux fait de rester s’occuper de ses cadavres.
Et c’est un peu là tout le drame de ce roman : on sait d’avance que ce qui va arriver ne va pas être une promenade de santé. Aucune réelle surprise n’est au rendez-vous, tout se déroule parfaitement comme l’aurait imaginé… un auteur de thrillers. Les présupposés méchants sont de vrais méchants et ceux qui semblent gentils le sont vraiment aussi. La première grosse révélation, n’est qu’une confirmation de ce que l’on a deviné depuis le début et ce qui suit est somme toute aussi assez logique. Fin de l’histoire.
Je caricature un peu bien sûr mais pour le dernier livre audio de l’année, je suis assez déçue de cette lecture très passive qui ne m’a pas perturbé le rythme cardiaque une seule seconde. J’ai trouvé cela tellement facile et tellement attendu sans aucun souhait de perdre un peu le lecteur en route ni de l’amener sur des mauvaises pistes. J’ai eu le sentiment que l’auteur s’économisait en donnant à lire ce que le lecteur était venu chercher, rien de plus. Est-ce l’effet Robert Goddard ? J’avoue que passer après deux lectures audio de presque 20 h chacune (L’héritage Davenall et Le secret d’Edwin Strafford), faites de complots, de retournements de situation, de fausses routes, de révélations tonitruantes, de vérités presque incroyables, là je m’ennuie par manque de fantaisie.
Je retenterai malgré tout un roman de Franck Thilliez car même si je sors mitigée de cette lecture comme je l’ai été de Puzzle, j’apprécie son style et je me dis que mis au service de la bonne histoire, ça peut faire des étincelles. Je chercherai donc encore en 2020 mon coup de coeur Thilliez.
Du grand Thilliez. « La forêt des ombres » met en scène David, un thanatopracteur, romancier à ses heures perdues, qui se voit proposer une offre qu’il ne peut pas refuser : passez un mois dans la Forêt noire, en Allemagne, avec sa femme et sa fille, à écrire un polar pour Doffre, un ancien psychiatre handicapé et très riche. Seule condition, David devra écrire dans des conditions de stress intense, dans cette mystérieuse forêt enneigée. La forêt, un vaste espace sauvage où chacun se retrouve face à lui-même : ses mensonges, ses vérités, son passé, ses doutes…
Tout est réuni pour frissonner dans ce huis-clos glauque à souhait : malaise, neige, isolement, angoisse, terreur sourde puis explosive, personnages psychotiques, folie… Ce thriller, très noir, m’a donné des sueurs froides, me plongeant dans un voyage dans antres de la psychopathologie.
Seul point négatif, un petit goût de déjà-vu. En effet, « La forêt des ombres » m’a rappelé « Misery » ou « Shinning » de Stephen King. Mais cela reste un thriller très efficace que j’ai dévoré en trois jours.
J ai adoré !!! Huit clos, goût de film d'horreur, glauque a souhait.... Une lecture détente qui m'a ramenée vers mes années lycée et nos soirée film d'horreur
Ce roman est un huit-clos, une maison au milieu d'une foret sans moyen de communication etc.... Déjà, une légère impression d’être dans un film d'horreur pour ado des années 90 mais quand même, un huis clos ça peut être super intéressant. Cette ambiance n'a pas été pour moi angoissante mais malaisante (ce mot n'existe pas dans le dico mais comme tout le monde l'utilise il devrait être rajouté incessamment sous peu :-) ). Ça n’était pas agréable a lire, il me restait une sensation de malaise après chaque moment de lecture et j'avais même parfois aucune envie de reprendre le livre mais voila c'est Thilliez alors je me suis dis "continu il va forcement se passer un truc intéressant et que t'as pas vu venir" et la on arrive a mon deuxième problème avec ce livre.... J'ai compris toute la trame dès le début et même les petits rebondissements de la fin on les comprends au fur et a mesure de l'histoire. Aucune surprise a la fin de ce roman et en le fermant je me suis même dis "tout ça pour ça ?".
Sans être grande fan de huit-clos j'ai pourtant beaucoup apprécié celui-ci.
l'écrivain a l'art de nous faire ressentir cette pression, cette solitude liée au lieu (forêt profonde) et nous en apprend pas mal sur certaines pratiques (que je ne divulguerai pas pour vous le laisser découvrir).
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