Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Dans La Conscience mystifiée (1936) Henri Lefebvre et Norbert Guterman soumettent à l'analyse l'aspect public de la conscience sociale.
Ils démontent les mécanismes qui permettent aux pouvoirs dominateurs d'imposer aux individus des représentations inverses aux réalités. Ainsi peuvent-ils élargir la théorie de l'aliénation de Marx. Pour eux " fétichisme, aliénation, mystification sont trois termes presque équivalents, trois aspects d'un seul fait ". Ce livre au destin maudit (rejeté à sa publication par le communisme soviétique, proscrit et brûlé plus tard par les nazis) était le premier d'une série devant s'intituler Science des idéologies.
Les deux auteurs y distinguent deux éléments fondamentaux : la conscience sociale et la conscience privée. Mystifiées, ni l'une ni l'autre ne peuvent passer pour critère de vérité. Hier et aujourd'hui séparés, il s'agissait précisément d'en retrouver théoriquement l'unité. Ce projet ne fut jamais réalisé en totalité : Norbert Guterman, immigré de Varsovie et " sans papiers " dut d'abord fuir la France, ensuite arriva la guerre où Henri Lefebvre entra en résistance.
Dans les années 50, Henri Lefebvre rédige seul une série d'articles retrouvés par hasard : La Conscience privée. On a ainsi une idée de ce qu'aurait été le second volet de la Science des idéologies. Où l'analyse de la " conscience individualiste " révèle que les caractères de cette " conscience privée " résultent d'une " privation " du lien lucide avec le social.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique
Découvrez les derniers trésors littéraires de l'année !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"