Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
À la mort de sa grand-mère, une jeune femme hérite de l'intrigante commode qui a nourri tous ses fantasmes de petite fille. Le temps d'une nuit, elle va ouvrir ses dix tiroirs et dérouler le fil de la vie de Rita, son Abuela, dévoilant les secrets qui ont scellé le destin de quatre générations de femmes indomptables, entre Espagne et France, de la dictature franquiste à nos jours.
La commode aux tiroirs de couleurs signe l'entrée en littérature d'Olivia Ruiz, conteuse hors pair, qui entremêle tragédies familiales et tourments de l'Histoire pour nous offrir une fresque romanesque flamboyante sur l'exil.« Un magnifique roman sur l'exil. Un petit bijou. » Le Parisien « Une fresque familiale vibrante. » Version Femina « Un texte délicat, poétique et poignant. » RTL « Racé comme du Almodóvar. Un coup d'éclat et un coup de maître. Une écrivaine démente. » Le Point « Par la grâce d'un livre, les racines refleurissent. » Courrier de l'Ouest « Cette épopée ne s'oublie pas. » Le Figaro « Le partage est la morale de ce récit ardent. » Le Monde des livres « Un émouvant premier roman autour d'une lignée de femmes frondeuses, marquées par le déracinement. » Elle « Un superbe premier roman. » Europe 1 « Une réussite. » Causette
La grand-mère Rita, l'Abuela, est décédée. Sa petite-fille dont on ne connaît pas le nom hérite d'une commode avec 10 tiroirs de couleurs différentes. Enfants, la narratrice et ses cousins imaginaient les secrets qu'elle pouvait contenir. Par des petits objets et des lettres laissés dans chaque tiroir, la narratrice découvre son histoire familiale.
Le roman raconte d'abord l'exil. Les parents de Rita l'envoient avec ses sœurs en France, à Narbonne alors qu'eux restent en Espagne combattre le régime de Franco. L'envie de s'intégrer, le rejet de ses origines, le racisme. Tout y est malheureusement bien décrits.
J'ai beaucoup aimé les premiers chapitres qui racontent la jeunesse de Rita qui grandit sans parent, entre deux cultures, et qui essaie de trouver sa place. Elle devient par la suite femme et plusieurs drames la frappent. Elle ne saura pas toujours les gérer selon les "codes de la société". Mais cela ne la rend que plus humaine. Le roman monte crescendo jusqu'à atteindre le seul passage qui m'a ému. La maladie et le deuil s'invitent. Les mots sont touchants et imagés. C'est très beau.
Ensuite j'ai eu l'impression de lire un autre roman. Je n'ai pas été convaincu par plusieurs choix éditoriaux et par la tournure que prend l'histoire. J'ai trouvé beaucoup de longueurs et cela part en situations invraisemblables et approximatives. De plus, la plupart des femmes de cette lignée tombent en pâmoison quasi aux premiers regards et très jeunes. Une vision fleur bleue de l'amour qui m'a un peu surprise alors qu'il me semblait que le roman voulait davantage porter l'émancipation de ces femmes de caractère. Je n'ai pas non plus compris l'épilogue que je trouve grotesque.
Le grand mystère du roman est le personnage d'André. Sans trop en dévoiler son changement de comportement envers Rita reste pour moi une énigme incompréhensible. Il est souvent évoqué mais jamais expliqué. Mais pourquoi ? J'ai émis une hypothèse qui finalement n'était pas concluante.
Je suis très mitigée sur cette lecture. L'autrice est une bonne conteuse. L'écriture est fluide et dynamique. Mêler exil, secrets de famille et lignée de femmes est une très bonne idée. Cependant il y a trop de lacunes sur certains éléments de l'histoire qui m'ont gêné.
Beaucoup de cordes à l’arc d’Olivia Ruiz : auteure-compositrice-interprète, actrice, réalisatrice et romancière… J’avais découvert son univers littéraire, l’été dernier, avec son 2ème livre, Écoute la pluie tomber, et m’étais promis de lire ses autres livres, dont son 1er roman :
La Commode aux tiroirs de couleur par Olivia Ruiz, Lu par l’autrice, Audiolib, 2021 (1ère édition : J-C Lattès, 2020).
À la mort de sa grand-mère, une jeune femme hérite de l'intrigante commode qui a nourri tous ses fantasmes de petite fille. Le temps d'une nuit, elle va ouvrir ses dix tiroirs et dérouler le fil de la vie de Rita, son Abuela, dévoilant les secrets qui ont scellé le destin de quatre générations de femmes indomptables, entre Espagne et France, de la dictature franquiste à nos jours.
Quelle belle métaphore de la transmission et de la construction de soi, autour des secrets de familles, du poids des épreuves, des forces et des fêlures d’une famille d’immigrés espagnols !
Des tiroirs qui ferment à clef, repeints aux couleurs de l’arc-en-ciel, gardiens des souvenirs porteurs, chapitres de ce meuble-roman.
Toujours cette écriture percutante, ici avec deux premières personnes, les voix alternées de celle qui ouvre les tiroirs et de celle qui les a remplis… Des tonalités espagnoles, chaudes et sonores. Beaucoup de poésie, du rythme… Un double tempo.
Une parole féminine directe, pleine d’émotion, d’humour, voire d’auto-dérision parfois. Pas de sensiblerie excessive, toujours avancer…
Je me suis laissé emporter par cette version audio, lu par l’autrice elle-même ; chanteuse et artiste multi-facettes, Olivia Ruiz offre une lecture intimiste agrémentée de virgules musicales originales créées avec David Hadjadj.
#lesglosesdelapiratedespal
Une vraie bonne découverte. C'est un livre facile à lire et on s'étonne presque de finir le dernier chapitre. Olivia Ruiz nous conte de manière très sincère la fuite de l'Espagne sous le régime de Franco. A travers la vie de Rita, la grand-mère qui a laissé en héritage une commode dans laquelle elle a laissé des objets relatant l'histoire d'une famille, ses non-dits, ses joies et ses peines.
J'aime beaucoup Olivia Ruiz la chanteuse et je suis totalement tombée sous le charme de l'écrivaine !
Une jeune femme découvre la vie tumultueuse de sa grand mère en ouvrant les 10 tiroirs de la commode qu'elle lui a léguée. Entre fuite d'Espagne sous le franquisme, perte de repères, amours contrariées et deuils, l'abuela se dévoile tiroir après tiroir aux yeux de sa petite-fille.
Un magnifique roman plein de tendresse, d'émotions (j'ai essuyé quelques larmes), de résilience, de bonheurs simples et de retrouvailles parfois compliquées, le tout dans un très beau style, limpide mais pas simpliste.
Un véritable livre feel good que j'ai dégusté en version audio durant mes trajets en voiture. Magnifiquement lu par Olivia Ruiz elle-même qui plus est, un must indéniable !
Je recommande vivement !
La commode aux tiroirs de couleurs – Ruiz
Les chapitres sont des tiroirs
Les tiroirs sont un passé
Un passé que raconte Rita (l’Abuela)
Rita transmet une histoire auprès de sa petite-fille.
La petite-fille découvre un exil
Un exil et des souvenirs d’amour, de naissance
Une naissance vers Narbonne vers une autre vie.
Une nouvelle vie qui se découvre au fil des pages.
Olivia Ruiz nous partage différentes émotions dans le silence des liens entre une grand-mère et sa petite-fille, une génération de femmes qui s’est enracinée dans l’imagination de cette histoire aux intonations autobiographiques. Une écriture douce-amère qui est agréable à lire entre une Espagne franquiste et la France avec un don réel de conteuse.
une très belle découverte que ce livre sur la filiation, les femmes, leur courage.
J'ai réellement lu cet ouvrage rapidement pressée de découvrir chaque tiroir et d'en connaître davantage.
C'est une très belle histoire dont vous en ressortirez pas indemne.
Jolie découverte que « La commode aux tiroirs de couleurs » d’Olivia Ruiz, qui se révèle être une remarquable conteuse.
Cette commode renferme tout ce qui reste de la vie d’une femme, mis à jour par sa petite-fille en ouvrant ses tiroirs.
A la mort de sa grand mère, la narratrice hérite d'une commode qui va, dans chaque tiroir, lui révélait des secrets de l'histoire de sa famille.
Chaque chapitre nous ouvre un tiroir de cette commode qui nous offre un objet dont l'histoire va nous être racontée. Peu à peu se construit la vie de cette grand mère qui vient de disparaitre, revenant sur sa fuite de l'Espagne, l'engagement de ses parents, l'arrivée en France et l'adaptation, une nouvelle vie, l'importance de la communauté, l'amour, les peines, les joies, les défis.... la vie quoi !
L'écriture est agréable fluide et vive comme Olivia Ruiz peut l'être dans ses chansons. Une histoire de femmes fortes et de solidarité, globalement assez gaies et optimistes malgré les affres de la vie.
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