Certains événements déterminent notre existence et laissent en nous une empreinte indélébile, consciemment ou non. La disparition brutale d'un père aimé en est effectivement un cruel exemple.
Anthony, le vrai aîné de Daphné, en a fait les frais et la perte de son père a laissé une telle béance qu'il s'est juré de ne plus jamais aimer autant une personne afin de ne pas souffrir. Et ça lui réussit plutôt bien car il a trouvé dans le libertinage de quoi assouvir ses pulsions sans s'engager émotionnellement.
Oui mais voilà il approche de la date de péremption qu'il croit être la sienne donc il se dit qu'il est temps de trouver une épouse et ainsi assurer sa descendance.
Trouvera-t'il sa femme idéale sans éprouver de sentiments pour elle? Sa réputation de libertin de nuira-t'elle pas à son entreprise ?
C'est tout le sujet du deuxième tome de la Chronique des Bridgerton qui n'a rien à envier au premier tant on plonge de nouveau dans l'univers créé par Julia Quinn. Un bon moment assuré.
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