"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
De 1764 à 1767, un animal féroce sème la terreur au coeur de la France paysanne. Il tue et déchiquète des hommes, des femmes, des enfants. On attribue une centaine de meurtres à ce monstre dont on ne sait s'il est un loup, un chien, une hyène - un loup-garou, peut-être? La rumeur s'emballe, et la légende de la bête du Gévaudan prend forme. En 1858, Élie Berthet (1815-1891), romancier populaire du Second Empire, publie le premier roman sur l'affaire. À la question «Qu'est-ce que la bête?», il répond par un feuilleton illustré dans la presse. Le succès est immédiat. Depuis, le sujet a fait couler beaucoup d'encre et Berthet, ce Limousin qui devint une plume parisienne plus appréciée qu'?Alexandre Dumas, a sombré dans l'oubli. Pourtant, sa Bête du Gévaudan vaut la peine d'être redécouverte. Sous un suspense haletant, on y découvre une thèse d'une surprenante modernité.
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