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La tragédie anglaise a été longue à s'acclimater dans la France des Lumières, malgré quelques tentatives de précurseurs (La Fosse, Voltaire). C'est le Théâtre anglais (1745-1749) de la Place qui, en rendant accessible un assez vaste échantillon de la production de Shakespeare et de ses successeurs, va attirer l'attention des dramaturges sur cette source abondante de sujets susceptibles de renouveler la formule classique de la tragédie. La belle pénitente (1703) est une pièce de Nicolas Rowe. Traduite en 1747 dans le tome V du Théatre anglais, elle va rapidement connaître deux adaptations pour la scène française. La première (1750), attribuable à l'obscur marquis de Mauprié, se contente de calquer le modèle britanique, mais la seconde, oeuvre de Colardeau, est plus audacieuse, modifiant l'intrigue et les caractères, le dramaturge écrit une pièce originale et relativement novatrice. Ce volume donne à lire, en les comparant à leur modèle, les deux tragédies françaises de La belle pénitente. Il s'inscrit dans la suite de la série déjà publiée par J.-N. Pascal.
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