80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Cet ouvrage porte sur l'analyse post-événement, dans le domaine judiciaire, d'images issues principalement de caméras de vidéosurveillance. Les méthodes manuelles et automatiques sont décrites ainsi que leurs cadres d'utilisation. Au regard des pratiques européennes, sont identifiées et analysées les limites associées à l'utilisation de la reconnaissance faciale dans le cadre d'expertises judiciaires. Ainsi, est évaluée la force probante accordée à ce moyen de preuve. La qualité des images et ses contraintes sont posées, contraintes matérielles autant que méthodologiques et humaines. Les représentations et les pratiques des experts européens sont analysées quant à l'intégration de leur travail dans un processus judiciaire. De ces pratiques se dégagent des problématiques et des freins communs. Des préconisations sont alors proposées en termes de formations et de standardisation des méthodes visant l'amélioration de l'efficacité scientifique de la reconnaissance faciale. Il apparaît de surcroît que c'est à travers l'établissement de liens entre le domaine scientifique et la magistrature qu'augmentera son potentiel d'admissibilité comme moyen de preuve scientifique.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année