80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Comment et pourquoi Jacques Lacan a-t-il conté sept versions différentes du cas de l'homme aux cervelles fraîches, aucune n'étant fidèle au récit d'Ernst Kris ?
Pourquoi et pour qui s'est-il enfermé dans son écritoire, de mars à octobre 1966, introduisant des milliers de corrections à plus de cinq cents paragraphes de ses Écrits ?
Pourquoi les écrits de Lacan sont-ils plus candides et prudents que les séminaires qui constituent leur point de départ ?
Quel motif eut le «Retour à Freud» de faire la sourde oreille à l'endroit de certains livres de Freud ?
Comment se fait-il que les théories postmodernes de l'écriture et de la lecture encouragent un abord de paragraphes de Lacan que la majorité de ses commentateurs passent sous silence ?
Quelles sont les preuves que le Joyce dont parle Lacan dans son séminaire Le sinthome n'est pas l'écrivain irlandais James Joyce, et quelle est la raison de cette fiction lacanienne ?
Quelles sont les trois raisons pour lesquelles la conférence peu amicale «Joyce le symptôme I» devrait devenir une lecture obligée des cours d'introduction à l'oeuvre de Lacan ?
Voilà, entre autres, quelques unes des énigmes que déplie et discute Jorge Baños Orellana. Il souligne ainsi que les traces sinueuses d'un frayage public ne doivent pas faire négliger que Lacan, s'éloignant à l'occasion des microphones, travaillait dans l'intimité concentrée de son écritoire.
D'abord publié en Argentine, El escritorio de Lacan donna lieu à un débat public entre l'auteur et Jean Allouch. Jorge Baños Orellana a souhaité que ce débat figure dans l'édition française de son ouvrage.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année