On aime, on vous fait gagner l’un des titres de la sélection 2017
Véritable phénomène d'édition, Jeux de miroirs est en cours de publication dans plus de 38 pays. Ce roman à la construction diabolique tient son lecteur en haleine jusqu'à la toute dernière page.
" Ça se commence et ça ne se lâche pas. Le livre du semestre ! " (TF1) " Une fin digne de Sherlock Holmes ! " (Europe 1 ) " Mon coeur fait boum pour Jeux de miroirs ! " (Audrey Pulvar, C8)?
Un agent littéraire, Peter Katz, reçoit un manuscrit intitulé Jeux de miroirs qui l'intrigue immédiatement. En effet, l'un des personnages n'est autre que le professeur Wieder, ponte de la psychologie cognitive, brutalement assassiné à la fin des années quatre-vingt et dont le meurtre ne fut jamais élucidé. Se pourrait-il que ce roman contienne des révélations sur cette affaire qui avait tenu en haleine les États-Unis ?
Persuadé d'avoir entre les mains un futur best-seller qui dévoilera enfin la clef de l'intrigue, l'agent tente d'en savoir plus. Mais l'auteur du manuscrit est décédé et le texte inachevé. Qu'à cela ne tienne, Katz embauche un journaliste d'investigation pour écrire la suite du livre. Mais, de souvenirs en faux-semblants, celui-ci va se retrouver pris au piège d'un maelstrom de fausses pistes.
Et si la vérité n'était qu'une histoire parmi d'autres ?
" Un premier roman impressionnant : aussi intelligent que bien écrit " (The Times) " Avec Jeux de miroirs , le roumain Eugen O. Chirovici brouille magistralement les pistes. " (L'Express) " Conceptuellement intelligent. " (Booklist) " Le livre parfait pour ceux qui ont besoin de leur dose d'Umberto Eco. " (BBC) " Les mensonges énoncés ouvertement, les mémoires défaillantes et les secrets bien gardés nous trompent au point de ne plus savoir qui croire, tandis que l'action tend vers un dénouement rusé et tout à fait crédible. " (Publishers Weekly) " Un roman construit avec intelligence. " (Publishers Weekly) " Un thriller délicat et incroyablement ficelé. " (The Daily Mail) " Une narration magique qui continue de nous hanter bien après un dénouement très satisfaisant ! " (The Daily Mail) " À lire d'une traite (vous n'aurez pas le choix) ! " (Page) " Le polar idéal pour un week end hivernal au coin du feu : ne le ratez pas ! " (Audrey Pulvar, C8) " Un des livres événement de ce début d'année ! " (La Région (Suisse)) " Chirovici campe bien ses personnages et titille le lecteur avec des révélation judicieusement distillées. Un puzzle littéraire sophistiqué et intelligent." (Kirkus Reviews)
On aime, on vous fait gagner l’un des titres de la sélection 2017
Choisissez, lisez et chroniquez !
Un éditeur reçoit le début d'un manuscrit qui le laisse sur sa faim. le narrateur y évoque le meurtre de Wieder, un psychiatre célèbre, assassiné en 1983. Serait-il possible que le narrateur connaisse réellement le meurtrier ? le crime est resté en effet impuni.
L'enquête commence alors pour l'un de ses amis journaliste qui n'hésite pas à mettre sur les roues un ancien policier à la retraite et qui avait lui-même enquêté sur l'affaire à l'époque.
De découverte en découverte, on finit par découvrir la vérité, les mensonges mais aussi les erreurs d'interprétation commises à l'époque, chacun se reflétant dans son propre miroir.
Un roman passionnant mais certainement pas un chef d'oeuvre de la littérature. Merci quand même aux éditions les Escales grâce auxquelles j'ai gagné le livre et ai pu passer un agréable moment.
Ce roman nous raconte une enquête revenue dans l’actualité suite à un projet de livre dont on ne connaît que le début. On commence donc par la version de l’auteur de ce manuscrit inachevé. Puis on enchaîne sur celle d’un journaliste chargé de retrouver le reste du manuscrit ainsi que les protagonistes de l’histoire. Puis arrive l’enquête menée par un ancien policier, aujourd’hui à la retraite, qui, après sa rencontre avec le journaliste, décide de tout reprendre à zéro dans cette histoire qu’il estime avoir bâclée 20 ans plus tôt…
Un roman en trois parties donc, où les suppositions se succèdent, les contradictions se multiplient, et on arrive presque à la fin du livre en se demandant quel scénario est le vrai.
Un roman assez bavard car fouillé dans les explications successives mais on se laisse prendre au procédé narratif à multiples versions.
Il ne faut pas s’attendre à un livre novateur car dans la forme il est d’une facture très classique.
Toutefois l’écriture est fluide et les divers scénarios sont intéressants, ainsi que le décryptage des mécanismes de la mémoire.
A découvrir donc, mais sans s’attendre à de l’inédit.
Peter Katz, agent littéraire, reçoit le début d'un manuscrit où il est question du meurtre d'un professeur, professeur reconnu en tant qu'expert de la psychologie cognitive. Le leurre remonte à 30 ans.
Comme l'auteur du manuscrit vient de mourir, l'agent littéraire charge donc un journaliste d'investigation d'écrire la fin de ce manuscrit. Ce dernier part donc à la recherche d'informations et d'éléments.
Au début du recit, on est happé par l'histoire car on a le sentiment que l'auteur nous donne des promesses quant à l'intrigue, l'épaisseur des personnages, les rebondissements. Mais arrivée à la moitié du roman, patatras, tout prend leau, l'histoire devient insipide, prévisible et nous laisse sur notre faim. Les protagonistes ne sont que clichés.
C'est dommage car cela donne l'impression de quelque chose non abouti et/ou que quelque chose nous a échappé.
Dans la série je lis avec les oreilles, merci Vincent Schmitt pour cette excellente lecture, chez Audiolib.
Fin des années quatre-vingt, un meurtre est commis et jamais élucidé, celui d’une pointure dans le monde de la psychologie cognitive, le professeur Wieder.
C’est un livre en forme de spirale, car Peter Katz agent littéraire reçoit un manuscrit inachevé qui parle du professeur, d’une jeune femme et de son co-locataire amoureux, Richard Flynn.
Trois parties justement liées, la première c’est le manuscrit qui fait revivre cette histoire, et l’on se demande qui tire les ficelles, le professeur ou la jeune femme. En aucun cas ce ne peut-être Richard qui en laissant ce manuscrit a dû essayer toute sa vie de résoudre l’énigme, et plus loin on verra que sa femme garde une jalousie pour cette partie de la vie de son mari.
La deuxième partie c’est l’enquête d’un journaliste d’investigations engagé par Peter Katz, car il s’agit de savoir si l’on publie ou non et si cela peut-être un « coup médiatique ».
La troisième partie donne la parole au policier qui était sur l’enquête, une partie émouvante car elle démontre la complexité d’une investigation et comment les enquêteurs sont des hommes comme les autres, avec un métier où il faudrait presque être des surhommes.
Le lien se trouve dans les travaux sur la mémoire : « La mémoire ce n'est pas que la faculté d'enregistrer mais surtout de pouvoir filtrer. » Un véritable dédale dont le dénouement n’est même pas certain…
J’ai beaucoup aimé la maitrise narrative de cet auteur qui en même temps a su garder une belle fluidité, pour un suspens en forme de puzzle. De mémoire avons-nous lecteurs toutes les pièces ?
Une belle lecture de plus, avec les oreilles.
J’ai apprécié la postface qui raconte les difficultés à se faire éditer et aussi les bonheurs d’avoir trouvé sa maison d’édition.
©Chantal Lafon-Litteratum Amor le 22 juillet 2017
Il y avait longtemps que je n’avais pas lu un bon Tuniraspastecoucher.
Une écriture fluide, une intrigue passionnante, je dois avouer que j’ai adoré chercher qui avait bien pu tuer le célèbre professeur : son homme à tout faire un brin perturbé ; son étudiante préférée ; ou le petit ami jaloux ?
Et puis deux protagonistes mènent l’enquête : un journaliste d’investigation dans la seconde partie, puis un ex-policier qui n’a pas pu à l’époque résoudre l’affaire dans la troisième et dernière partie.
Si je n’ai pas compris le jeu de miroirs du titre, j’ai aimé la mise en lumière du rôle de la mémoire : nous sommes persuadés que nos souvenirs sont justes alors qu’ils ne le sont pas toujours.
Une analyse du rôle et des dangers de la mémoire.
Toutefois, l’auteur lance des pistes qui ne vont pas au bout : pourquoi insister sur les portraits disparus du narrateur alors qu’ils n’ont par la suite plus d’importance ? Quel rôle tient vraiment l’hypnose dans les traitements du Professeur Wieder ? Pourquoi le manuscrit caché dudit Professeur comportait plusieurs types d’écritures ?
Ceci dit, j’ai été happée par cette histoire, et j’ai vraiment passé un très très bon moment.
L’image que je retiendrai :
Celle de la cachette du manuscrit découverte par hasard au fond du bas d’un placard derrière une cloison. Or, ce manuscrit a disparu.
http://alexmotamots.fr/jeux-de-miroirs-eugen-ovidiu-chirovici/
J'ai passé un bon moment avec ce roman, je dois l'avouer.
Il est un peu inégal et la première partie est clairement la plus intéressante, mais c'est très agréable.
Le coup du manuscrit à été vu et revu, sauf qu'il n'est pas complet ici, ce qui permet d'alterner les histoires entre le cadre et Peter Katz, et la narration de Flynn.
A la moitié du roman, on sort de l'histoire de Flynn, et forcément, on a envie de savoir qui est l'assassin.
Du coup, les narrateurs changent, ce qui donne un peu de dynamisme au récit.
Il y a d'abord l'agent littéraire, l'écrivain qui a envoyé son manuscrit, et puis un détective payé par l'agent et le policier qui a enquêté sur le meurtre.
C'est donc un bon petit roman, un peu thriller mais pas trop, qui mérite le coup d'oeil.
Comme cela arrive de temps en temps, le battage médiatique l'a un peu desservi en laissant penser qu'il s'agit du livre du siècle alors que ce n'est tout de même pas le cas, mais j'ai apprécié la lecture.
L'auteur aurait pu aller plus loin sur l'aspect psychologie et manipulation.
C'est sans doute parce qu'il s'agit d'un premier roman qu'il n'est pas allé jusque là.
Jeux de miroir, c’est l’histoire d’un meurtre non élucidé. Un homme à l’agonie envoie une partie d’un livre élucidant enfin le meurtre d’un psychologue de nombreuses auparavant à un agent littéraire. A sa mort, la fin de son roman reste introuvable. L’agent engage alors un journaliste qui met lui-même un policier à la retraite sur l’affaire.
Le roman est divisé en trois parties, en fonction du personnage qui enquête. La première partie, la plus intéressante à mon sens, adopte le point de vue de l’agent littéraire. On y apprend comment le manuscrit arrive entre ses mains et les raisons qui le poussent à s’intéresser au livre reçu. On y découvre d’ailleurs la partie du livre qui lui a été adressée par Richard. On la lit d’ailleurs. C’est la partie la plus intéressante. Elle raconte comment l’auteur a rencontré le futur macchabée. Elle explique les relations entre les différents personnages. La situation semble simple alors qu’elle est en réalité complexe. On le ressent dans les différentes descriptions faites par le narrateur. Et en même temps, on sent que celui-ci non plus n’a pas toujours les idées claires. Porté par sa jalousie, il imagine peut-être des choses. Au terme de cette partie, on ne sait pas quel est le véritable coupable.
La deuxième partie raconte l’enquête menée par le journaliste. C’était assez long, comme une véritable enquête en fait. On y apprend des tas de choses qui sèment surtout le doute. Qui dit la vérité ? Qui ment ? Qui a menti ?
C’est la troisième partie qui nous dévoile le fin mot de l’histoire, en partie du moins. C’est le policier qui au final m’a le plus touchée, et cette partie m’a plutôt plu, Elle était de la longueur qu’il fallait. Et la fin est plutôt bonne, bien qu’elle n’en révèle pas assez à mon goût.
Pour ce qui est de l’histoire, j’avoue avoir eu du mal à tout saisir. En effet, c’est beaucoup trop fouillis pour moi. J’ai bien conscience que c’était sans doute voulu puisqu’une enquête n’est pas linéaire. Mais j’ai eu du mal à comprendre certains éléments. De plus, on n’a jamais la certitude du déroulement du meurtre. Ça m’a manqué, et au final, ça m’a donné la sensation que c’était trop brouillon. Ça faisait un peu mauvais téléfilm policier, plein de paranoïa.
Pour ce qui est des personnages, il faut bien dire qu’ils sont recherchés. Les zones d’ombre de leurs personnalités permettent de saisir toute leur complexité.
Le style d’écriture de l’auteur, que je ne connaissais pas avant cette lecture, est vraiment agréable. Il y a un bon rythme, bien que certaines digressions le cassent parfois de façon dommageable. En effet, j’ai trouvé assez maladroits les moments qui, au milieu des révélations, donnaient des détails sur la vie privée des personnages.
Conclusion : ♥♥♥ J’ai trouvé l’histoire trop fouillis, pas assez organisée. Au final, la partie avec le journaliste m’a parue trop longue. Dommage également que la complexité des personnages et de leurs relations n’ait pas été plus exploitée que ça. Je suis frustrée de ne pas savoir quels étaient les implications réelles de chaque personnage dans l’histoire. Malgré tout, le livre se laisse lire assez rapidement et offre une histoire plutôt agréable et originale.
http://lechatquilit.e-monsite.com/pages/mes-lectures-2017/jeux-de-miroir.html
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