Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
Ce livre n'est pas seulement la chronique d'une mort annoncée, mais c'est aussi une émouvante confession d'un enfant épris de liberté. Je suis mort le... retrace l'itinéraire professionnel, intime, politique et spirituel de son auteur. Encore plus que dans ses précédents livres, Michel Bavaud a trempé sa plume dans l'encrier du courage. Son authenticité le rend touchant et fraternel. Parfois, on sent que l'auteur s'est nourri en lisant certains classiques humanistes mais ceux-ci ont été intériorisés et l'auteur est sûr de lui. Ses remises en question ont fortifié sa personnalité. Le pédagogue est accompli. A l'heure où les fanatiques de la Bible et du Coran se bombardent, s'égorgent et où les petits esprits sèment la haine du prochain dans nos écoles et nos gazettes, le livre de Michel Bavaud constitue une bouffée d'air frais et une source d'espérance. Homme libre, toujours tu chériras les mots.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
Des idées de lecture pour ce début d'année !
Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
A gagner : la BD jeunesse adaptée du classique de Mary Shelley !