80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
« Il avait frôlé des bougainvillées rosat, il avait gravi la colline, celle sur laquelle poussaient des oliviers et des lentisques, celle qui surplombait Alger la Blanche. Il était venu voir le soleil se lever. En contrebas, le ressac l'appelait. D'ordinaire, Islem ne faisait jamais cela, il n'avait pas le temps. Mais la guerre qui se préparait allait tout changer. Peu de gens avaient deviné qu'une ère finissait et qu'une autre commençait. Islem, lui, avait compris. »
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