La ligne directrice de ce livre est l'amour qu'Anne Paris a appris dans la lecture et qu'elle transmet en écrivant ses joies et ses peines?; sa traversée de la pandémie, de la maladie, de son hommage à sa mère, ses filles, son mari, ses amis... L'écriture est comme une offrande qui cherche à faire connaître par petites touches et extraits de vingt-deux livres, qui sont comme des amis guides et vous donnent envie de les lire. De «?La petite maison dans la prairie?», aux «?Quatre filles du docteur March?», de Marcel Pagnol à Balzac en passant par Albert Cohen, tel un fil rouge, les livres accompagnent l'histoire et sont de fidèles compagnons qui savent donner de belles réponses aux éternels questionnements de l'être humain. Ces parallèles entre la réalité et les livres mettent en lumière l'amour de la vie et de l'écriture, et l'importance de l'acte de lire qui culmine vers une liberté intérieure pleine de confiance et d'espérance.
"Je me sentais en sécurité, bien à l'abri dans le livre, cette famille devenait mienne."
Souvenir de lecture.
Impatience du rituel du soir.
Couleur de la couverture.
« Je lis donc je vis »…Comme je comprends !
Comme je lis beaucoup, je vis beaucoup aussi !
Il y a en Anne Paris une sensibilité et une émotion à fleur de peau qui me touchent particulièrement.
De « la petite maison dans la prairie » à « le temps de méditer » il n'y a qu’un pas, un pas de géant, ou plutôt de géante… Mais un pas. Un pas de deux. Une page. Recto. Verso. Un pas avec des pages. Beaucoup de pages !
Une lectrice. Un livre. Une rencontre.
Le plaisir et le goût de lire, les histoires, le réconfort, le cheminement, les parallèles entre les lectures et la vie que l'on mène, l'amour des livres, qui nous protègent, qui nous font réfléchir, qui nous construisent, qui nous emportent, qui nous permettent de se connaître... Tout cela me parle bien évidemment !
L'auteure nous confie les livres qui tiennent une immense place dans sa vie.
C'est un hommage aux livres, à ses amis les livres, à nos amis les livres, et au pouvoir de leurs mots.
Du premier souvenir de lecture de Anne Paris jusqu'au dernier chapitre, j'ai ressenti beaucoup de bienveillance, d'amour, de sensation, de sensibilité, de recueillement, de générosité, d'émotion, de sincérité, de force, de compassion, d'amitié, d'empathie, de liberté, de passion, d'espérance...et des liens très forts et très créatifs entre cette maîtresse et ses élèves.
Il y a une joie de lire, de vivre, et d'écrire qui fait vraiment écho en moi.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année
Merci pour cette découverte. Le titre du livre et ce commentaire me donne vraiment envie de le lire. Je note :)