80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Quels impacts auront la digitalisation et l'intelligence artificielle sur nos vies et notre travail? Verra-t-on la fin du nucléaire? Nos GSM tiendront-ils 50 ans? Ecrira-t-on toujours? Le transhumanisme façonne-t-il une nouvelle espèce humaine? Y aura-t-il encore des médecins? Aura-t-on toujours besoin du chômage? Comment nourrir tout le monde tout en questionnant l'agriculture industrielle?
Quelle mobilité va permettre la voiture autonome? Quelles pistes s'ouvrent pour un renouveau démocratique? Les frontières aurontelles encore du sens? Ira-t-on toujours au cinéma?... Les possibles sont nombreux, influencés par nos cultures et notre pensée politique. Quelle éthique, quelle morale, quels encadrements publics nous aideront à cultiver demain?
En marge de l'exposition «J'aurai 20 ans en 2030», Question(s) d'avenir(s) ouvre au débat, chatouille la curiosité et apporte une série d'éclairages sur plus de 50 questions incontournables pour penser l'avenir. Entre mythes et quotidiennetés, entre espérances et craintes, des scientifiques de l'Université de Liège partent d'aujourd'hui pour dresser la carte du monde en 2030. Des éclairages et non des réponses. Car l'avenir, aux contours mouvants, est pluriel. Notre époque est charnière, duale, paradoxale. Elle s'oriente vers l'ultra technologique et une reconnexion à un environnement à préserver, vers une autonomie de vie inédite et des formes de contrôle aliénantes. Entre rupture et continuité, 2030 portera en écho les résonances d'aujourd'hui. Le reste est à construire et à anticiper.
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