"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Deux ans après sa première navigation en haute mer, Dona Bertarelli s'est engagée sur le défi le plus difficile et éprouvant : le Trophée Jules Verne. Seule femme parmi 13 hommes, l'équipage a tenté de parcourir, sans escale et sans assistance, la distance orthodormique de 21'760 miles nautiques. Ils ont réalisé le deuxième temps de l'histoire en 47 jours 10 heures 59 minutes 02 secondes.
Femme d'affaires milliardaire, Dona Bertarelli aurait pu choisir une vie confortable. Au lieu de cela, elle s'est donnée corps et âme pour participer à ce défi. Dans ce journal intime, elle décrit avec une honnêteté brutale la réalité de la navigation à bord du trimaran : des semaines sans douche, sans confort, les nuits blanches, la nourriture lyophilisée, le froid, le bruit perpétuel des vagues sur le carbone, l'éloignement de ses trois enfants, etc. Ce voyage est aussi initiatique puisqu'il a permis une introspection, une plongée dans des émotions de toutes sortes comme le stress, la frustration, le doute, mais aussi l'euphorie, l'amitié et l'entraide. Des images viennent enrichir ce texte qui transpire la mer...
Depuis la création de Spindrift racing, Dona Bertarelli et Yann Guichard ont à coeur de partager leur passion pour la voile, les océans et les métiers de la course au large avec les jeunes générations. Le programme Spindrift for Schools est né avec le Trophée Jules Verne et se développera au fil des projets de l'écurie. En collaboration avec des professionnels des sciences et de l'enseignement, Spindrift racing a conçu des outils qui développent l'imagination des enfants.
Dans ce journal intime, Dona partage également les thèmes qui ont été abordés durant cette tentative de record Dona Bertarelli dira, quelques jours après son retour : « J'ai très bien vécu ce voyage car on se connaît tous très bien et chacun a respecté le caractère des autres. C'était très agréable parce que c'est une équipe de véritables amis. Mais cela tient aussi au fait d'avoir pu, d'une certaine manière, exorciser mes appréhensions, mes craintes de plonger dans le Grand Sud ou d'être loin de tout. Au travers de mes écrits, des articles destinés aux classes de France et de Suisse, en continuant à communiquer avec la terre et à échanger, je ne me suis jamais sentie isolée, seule dans cette aventure. »
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