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Le terme « hyphe » vient du grec ancien ?f? (huph?) signifiant « tissu ». C'est un nom masculin ou féminin désignant un filament qui, organisé en réseau, constitue l'appareil végétatif des champignons : le mycélium. « Hyphes » est également le titre d'un recueil de poésie où se mêlent des mots liés aux femmes et à la nature. Pour autant, foin de mièvrerie ! Si les hyphes forment une dentelle, elle est brodée à même la peau. Au fil du voyage, on y rencontre des sorcières en herbe et des furies en plein SPM*, des louves aux abois et des dragonnes à la peau dure mais au coeur tendre. Le long des chemins, les arbres tremblent de rage, de tempêtes et d'orages. La beauté bouscule et les rimes sont sauvages. On y explore les méandres de nos vies intérieures, là où poussent des fougères invisibles pour le commun des mortels. Il y est question de magie, ou plutôt, d'empouvoirement. Et de sororité, évidemment. On y découvre l'envers, les gencives, les secrets, les muqueuses. Ce que d'ordinaire on ne dévoile pas. On y trouve ce qui en nous s'accorde à l'eau, à la lumière et au vent. On y puise des forces pour faire face à la douleur et aux ouragans. Hyphes. Parce qu'enchevêtrer nos racines constitue la seule voie.
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