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Parce que « la poésie est une union avec tous ou quelques-uns, et c'est aussi, hélas ! une solitude sans frontière » (Alliette Audra, Poèmes choisis, 1964), Christian Satgé invite les Muses dans son musée personnel pour y muser parmi quelques oeuvres sans vernis. C'est sans artifice ni prétention, que ce jongleur de mots, amusé, avançant sur le fil ténu d'un temps éreintant, s'expose ici entre lyrisme et légèreté, sensibilité et sensualité, humeur et humour, valeurs et couleurs...
Au fil de ces pages, il vous propose de partager quelques vers en peignant des paysages intérieurs et en brossant des portraits vus par un humble voyageur immobile. Pour pigmenter sa vie, il les colore en mettant sa plume modeste, mais toujours loquace, au vent d'une inspiration capricieuse et s'amuse de ce que l'on ne voit plus à force de l'avoir sous les yeux. Car notre monde, qu'il a du mal à voir en peinture, toujours pressé, toujours pressant, ne sait hélas plus se regarder vraiment...
Venez donc, à vos minutes perdues, courir en toute liberté ses phrases, en glanant ici ou là, un instant de saison voire un moment de déraison où petites joies et menus plaisirs tentent d'égayer cette solitude partagée qu'est la vie en société et les profondes tristesses de notre époque si peu épique. Ce sont, un peu, ses « riches heures » à lui, qu'il aimerait ainsi partager par petites touches...
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