80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Evoquant la démarche photographique présidant à cet ouvrage, Silvaine Arabo écrit : « La finalité n'a pas été de photographier un maximum de lieux, mais tout au contraire d'approfondir et d'étudier les jeux de la lumière dans l'enceinte d'un même paysage : variations de celle-ci selon les saisons et les différentes heures du jour. (...) J'ai privilégié les gros- plans sur des espaces réduits de terre et/ou d'eaux, essayant de les rendre à une existence, à une présence, que notre regard quotidien (avec les soucis qui vont avec) nous occulte de façon quasi permanente. (...) La photo est méditation, contemplation, non pas seulement simple véhicule « d'informations » (témoignage ou sociologie). Regarder des photos, avec le rythme lent qui s'impose, pénétrer de nouveau les arcanes de la nature, peut nous aider à renouveler notre regard sur celle-ci, à réaliser sa présence, sa force, le miracle permanent qu'elle constitue et que nous ne savons plus voir. Cela peut alors nous régénérer, nous reconduire vers notre intériorité, vers notre propre miroir (...). »
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