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7 h 52. Collision. Accident de voiture.
À son réveil à l'hôpital, Léo, jeune professeure de philosophie âgée de trente ans, se retrouve nez à nez avec Mamie Lina, qui n'est autre que sa grand-mère décédée. Personnage haut en couleurs à l'humour cinglant qui donne son avis sur tout - sans qu'on le lui ait demandé -, celle-ci s'immisce dans la vie quotidienne hésitante de Léo et de ses amis Louise et Juju, à un moment décisif de leur vie. Par ses interventions intempestives, cette grand-mère pas comme les autres chamboule tout sur son passage. Mais en confrontant Léo à ses peurs et à ces secrets qui hantent toute famille, elle fait à sa petite-fille le plus beau cadeau : le courage de saisir la vie à pleine main - et de donner une chance au bonheur.
Ce livre entre dans la sélection du prix des lecteurs U 2020 pour lequel ma candidature a été retenue.
Léo, jeune professeure de philosophie, célibataire, vit en colocation avec sa collègue Louise, conseillère d’orientation dans le même lycée, et sa fille Tess.
En retard comme à l’accoutumée, Léo, après avoir refusé la possibilité de partir en même temps que Louise, prend sa voiture pour se rendre au travail. Une minute d’inattention et c’est l’accident. A son réveil à l’hôpital, elle s’aperçoit que sa Mamie Lina, sa grand-mère décédée, est près d’elle. Cette dernière décide de vivre avec elle mais seules Léo et Tess peuvent la voir. Mamie Lina ne va pas être avare de conseils quant à la façon dont sa petite fille gère sa vie au dam de cette dernière qui parfois oublie que les autres ne la voient pas et qui s’exprime à voix haute. Léo finira part tirer profit de cette étrange relation.
Si on plonge dans cette histoire sans déplaisir, il a un goût de trop peu. Les personnages sont sympathiques bien qu’un peu caricaturés. Ce roman frais, à l’écriture simple et facile, est parfois drôle, mais aussi triste. Cette histoire de gentil fantôme un peu envahissant qui ne veut que le bien a la mérite de mettre du baume au coeur. Il en est de même avec l'amitié touchante entre Léo et sa colocataire Louise, quelque peu déjantée et celle du trio qu'elles forment avec Juju le gardien de l'école, transi d'amour et qui cherche des réponses auprès d'elles. On le lit avec le sourire même si certains personnages peuvent être horripilants par moment. Même s’il manque d’épaisseur et qu’il ne restera pas inoubliable, il a le mérite de nous interroger sur notre propre vie et comment juguler les quelques peurs qui nous empêche de bien nous réaliser.
Léona, une prof de philo trentenaire vivant à Agen, nous fait partager, avec ce roman, un épisode de sa vie, avec ses amis de toujours, ses amours de passage, ses parents très secrets et sa sœur modèle.
C’est un accident de voiture qui va être à l’origine de ce court récit et qui va voir revenir une drôle de Mamie Lina, la grand-mère décédée de Léo, comme un ange gardien missionné pour guider la jeune femme dans ses choix.
Une histoire très ordinaire sans réel événement, avec les questionnements normaux de cette génération sur le couple, les enfants et l’estime de soi, mais qui entrouvre une porte sur un avenir où tout pourrait être possible.
Je m’attendais à une réflexion plus poussée sur cette période charnière de la vie et j’ai été déçue de ne trouver qu’un récit très quelconque, avec des personnages ordinaires déjà croisés mille fois.
Un roman plat et monotone, à l’écriture simple et très familière, auquel je n’ai pas réussi à m’intéresser mais qui peut laisser présager une suite plus captivante. A voir donc.
Un livre feel good hilarant, un condensé de bonne humeur. J'ai adoré le personnage de mamie Lina. Les personnages sont attachants et on n'a aucun mal à s'identifier à eux.
Je suis cependant déçue par la toute fin.
https://dubonheurdelire.wordpress.com/2018/03/02/hate-toi-de-vivre-laure-rollier/
grâce à Babelio et à masse critique, j’ai pu encore une fois découvrir une nouvelle auteure et un nouveau roman. Laure Rollier vient d’être éditée par Mazarine (dont les romans sont assez prenants, je l’avoue). Dans son premier roman « Hâte toi de vivre », elle nous fait découvrir l’histoire de Léo, professeure de philosophie dans le sud-ouest. Cette jeune femme, trentenaire, à l’accent du sud n’est pas sans faire écho à ma propre vie puisqu’elle aussi est professeure (mais de philosophie alors que je suis dans les lettres !). Alors que tout semble aller pour le mieux, un lycée sympa, une colocation épanouissante, survient l’accident de voiture qui bouscule la vie de Léo. Après les blessures, le fantôme de sa grand mère surgit auprès d’elle, commentant tout et donnant des conseils que Léo ne semble pas vouloir suivre.
Ce roman est léger par son écriture et par le choix des personnages. Des trentenaires pleins de vie et d’amour, une mamie un peu déjantée et qui ne semble avoir peur de rien, telle est la formule d’un roman qui donne envie de tourner les pages. Et comme l’annonce le titre, c’est aussi une roman qui donne une morale : « hâte toi de vivre » et que l’on a envie de suivre après avoir lu ce roman !
En bref, une écriture légère mais un sujet profond !
Ce roman est une petite pépite que je vous recommande chaudement.
L'histoire est simple : Léona, alias Léo, est victime d'un accident de voiture. Elle se réveille d'un coma avec une surprise... elle voit sa grand-mère ! Celle-ci même qui est décédée des années auparavant.
Commence alors un nouveau pan de sa vie, rythmée par les apparitions de Mamie Lina.
C'est frais, bien écrit, drôle, triste parfois. C'est ce que l'on appelle maintenant un roman "feel-good", un roman qui fait du bien.
Tout m'a plu, l'histoire, les personnages. Léona est vraiment sympathique, touchante. Tout se tient de la première à la dernière page. Et le dénouement a été inattendu pour moi car je dois avouer que je ne l'avais pas vu venir !
J'ai été très triste de quitter tout ce petit monde, et c'est avec un immense plaisir que je mets cinq étoiles car j'ai eu un coup de coeur pour ce roman.
Merci beaucoup aux Editions Fayard/Mazarine et à Netgalley qui m’ont permis de me changer les idées en me plongeant dans ce livre « feel-good » bien sympathique.
J’ai l’habitude de vous présenter des thrillers et romans policiers. Mais comme certains d’entre vous l’ont appris, j’ai récemment perdu ma grand-mère. C’est pourquoi j’ai cherché un livre « feel-good » dans ma pile à livres et je suis tombée sur cette histoire. Quand vous lirez le résumé, vous vous direz que c’était tout à fait prédestiné et effectivement, c’était le cas.
Je vous ai habitué à vous faire part de mes coups de cœur qui sont généralement des thrillers, des polars, voire des suspens. Mais je ne souhaite pas rester cloîtrée dans ma zone de confort et domaine de prédilection. C’est comme ça que j’avais choisi ce livre sur Netgalley, il y a déjà quelque temps. Mais, hélas, je ne savais pas que peu de temps après, je me retrouverais dans cette situation.
On suit les aventures de Léona, professeure de philo dans un lycée qui, un matin, est victime d’un accident de voiture. Alors qu’elle se réveille à l’hôpital, elle se rend compte qu’elle « voit » le fantôme de sa grand-mère, décédée alors qu’elle était encore petite. Au fil des jours, elle va même s’habituer de cette présence et redécouvrir une grand-mère à la langue bien pendue qu’elle n’a pas ou peu eu la chance de connaître.
Je vous avoue que c’est le genre de lecture qui fait simplement du bien. On ne cherche pas de la grande littérature en se plongeant dans ce type de récit mais tout simplement à oublier nos petits bobos de la vie quotidienne. J’ai apprécié l’écriture « pensée » de Laure Pellier qui nous donne l’impression de lire dans nos pensées.
On y redécouvre des thèmes comme la considération de la famille mais aussi des gens qui nous entourent ainsi que l’importance de la priorisation dans nos choix. C’est léger et gentil, peut-être un peu mièvre mais je ne demandais pas plus à ce livre ; il a donc parfaitement rempli sa mission avec en prime un bon final inattendu pour moi. S’il fallait trouver un petit inconvénient, c’est le regret que ce roman soit si court car on s’attache vite et facilement à la petite ribambelle de personnages.
http://musemaniasbooks.blogspot.be/2018/05/hate-toi-de-vivre-de-laure-rollier.html
Léona est professeure de philo. Après plusieurs années passées à Paris, elle retrouve son Sud-Ouest natal. Sa vie se partage entre son travail et ses deux meilleurs amis, Louloune et Juju. Peu ou pas de place pour les amours, peu ou pas de place pour sa famille, peu ou pas de place hors cette course effrénée contre le temps. Peu ou pas de place pour le bonheur, en somme. Jusqu’au jour où un accident la mettra face à elle-même. Face aussi au fantôme d’une grand-mère fantasque et haute en couleurs. Léo prendra alors conscience de la monochromie de son existence.
« Je suis fade. Ma vie est fade. J’ai l’impression d’être une pâle copie de ce que je pourrais être ».
Mamie Lina , avec amour et humour, guidera sa petite-fille sur un nouveau chemin, sur lequel les priorités changeront de bord, sur lequel elle apprendra à aimer, à s’aimer, à saisir le bonheur quand il se présente.
« Ouvre-toi Léo, tu as tout ce que l’on peut espérer de la vie . Ne le laisse pas filer ».
Hâte-toi de vivre est une belle histoire. Celle d’une floraison. C’est aussi le nécessaire rappel de dire aux gens qu’on les aime tant qu’il est encore temps. De savourer chaque instant que la vie nous offre. De saisir à bras le corps l’existence et ces petits bonheurs qui la jalonnent. C’est un doux roman feel good.
Mention spéciale à l'autrice, pour l’évocation du Sud-Ouest, c’est comme si on y était !
Léo est une jeune femme très active que le destin va toucher de plein fouet. Lorsqu’un jour elle quitte son domicile, très en retard, elle sera victime d’un accident de voiture qui l’enverra à l’hôpital. Et c’est alors que tout commence… entre autres, ses retrouvailles avec Mamie Lina, sa grand-mère paternelle.
D’abord, Léo n’en croit pas ses yeux, ni ses oreilles, lorsqu’elle se manifeste pour la première fois. Comme un fantôme. Un mystère. Comment cette grand-mère décédée peut-elle refaire surface ? Mamie Lina ne lâchera pas Léo. Elle sera son guide. Sa petite voix… qu’elle ne sera pas la seule à entendre d’ailleurs…
Mais tout cela est sans compter sur son entourage : ses amis Louise et Juju, ses parents, la petit Tess, ses collègues de travail, son ami de cœur,… Mamie Lina sera son nouveau moteur, sa locomotive de vie… Et grâce à elle, Léo osera, avancera…
Préparez-vous à vivre un moment hors du commun. Il n’y a ici aucune place pour le « pathos », mais un juste et équilibré mélange d’amitié, de tendresse, d’amour, d’émotion et d’humour. Des révélations de secrets de famille, si longtemps enfouis, dont le voile sera levé.
Vous allez rire, vous allez être ému, vous allez le lire si vite que vous en redemanderez encore, et vous les aimerez tous, ses personnages.
Une écriture en toute simplicité et pourtant capable d’un joli impact sur le lecteur.
C’est comme un petit bonbon. Ne pas surtout pas le croquer. Le laisser fondre pour en faire durer tout le plaisir et l’apprécier.
https://littelecture.wordpress.com/2018/03/15/hate-toi-de-vivre-de-laure-rollier/
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