80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
La résurgence du mythe de la Frontière dans la rhétorique politique de la « guerre contre la terreur » oblige à reconsidérer l'idée de sa marginalisation dans la culture étatsunienne depuis la crise du mythe public identifiée par Richard Slotkin à la fin des années 1960.Partant de l'analyse sociohistorique de six oeuvres cinématographiques sorties entre 1968 et 1986, cet ouvrage soutient que, loin d'avoir été marginalisé par le déclin du genre du western à Hollywood, le mythe de la Frontière s'est diversifié, prolongé et consolidé dans le cinéma étatsunien post-western, manifestant la continuité de structures idéologiques impériales héritées de la fin du XIXe siècle dans la culture populaire de la fin du XXe.Les deux parties de l'ouvrage correspondent aux deux trajectoires narratives dominant les représentations de la Frontière dans le cinéma étatsunien post-western: depuis la Conquête de l'Ouest de Theodore Roosevelt jusqu'aux représentations contemporaines de la guerre sauvage; et depuis la « théorie de la Frontière » de Frederick Turner jusqu'aux incarnations cinématographiques d'un empire de la liberté.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année