"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Célèbre pour ses reportages de guerre en Israël, au Viêtnam ou au Biafra dans les années 1960, Gilles Caron est aussi considéré comme «le» photographe de Mai 68. Derrière des images légendaires, les archives de la Fondation Gilles Caron permettent désormais de découvrir la partie immergée d'un iceberg : des milliers de vues réalisées tout au long d'une année où il propose un portrait de la jeunesse française, de ses vedettes, de ses hommes politiques et d'une foule d'anonyme décidée à changer d'époque. Sur le terrain, dans les amphis et au cours des manifs, Gilles Caron tient une chronique de 1968 en très grande partie inédite.Son expérience malgré sa jeunesse lui permet de poser un regard à la fois bienveillant et distancié sur des événements au goût de révolution, lui qui sera le témoin engagé de conflits dramatiques en Afrique tout au long de cette année 1968.Disparu prématurément en 1970 à l'âge de 30 ans au Cambodge, Gilles Caron laisse le plus précieux témoignage de la «révolution symbolique» que fut Mai 68.
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