Un douloureux passage à l'âge adulte, entre sensibilité et horreur...
Dans le « théâtre » de Georges Bataille, le rideau se lève sur une scène peu éclairée, livrée aux expériences-limites de la pensée, des voix, du corps, des affects et attracts premiers (désir, joie, effroi...) Le théâtre se joue de ses contradictions internes, revendiquant même jusqu'à la dissolution des corps, du langage.
Cet essai propose de confronter les approches batailliennes de la souveraineté et de l'extase à d'autres traditions philosophiques et mystiques. À ce jeu d'ombres et d'indices luminescents participent Maître Eckhart, N. de Cues, G. W. F. Hegel, E. Husserl, saint Anselme de Cantorbery, F. Nietzsche, F. von Baader, P. Klossowski, S. Freud, le bouddhisme tibétain et le zen.
Là où le néant et la dissolution semblent l'emporter, une « philosophie de la lumière » se dégage et s'exprime. Le « style » d'une philosophie de la lumière privilégie une logique des analogies et des correspondances qui permettra peut-être de tisser un langage neuf, linguistique et figural, transgressant les dialectiques bien construites.
Georges Bataille, tout en renforçant la contestation de toute « servitude dogmatique », prône un renouvellement de plusieurs voies poétiques et spirituelles en quête de l'ineffable.
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