80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Un avion qui lance une roquette dans une rue noire de monde, un bébé atteint au cerveau par des éclats de missile, un avocat qui propose d' "étrangler" Gaza, un père qui identifie la moitié du corps de son fils grâce à ses chaussettes, des rues entières " mises à nu " par les bulldozers Caterpillar... semaine après semaine, jour après jour quand les événements se précipitent, Gideon Levy décrit les horreurs infligées par l'armée et l'aviation israéliennes à la population de Gaza. Et en même temps, il tend un miroir aux lecteurs de Haaretz : il leur montre leur "effarante indifférence", il leur explique que les dirigeants de l'opération " Plomb durci " risquent de se retrouver un jour devant un tribunal à La Haye, il leur assène que " le sang des enfants tués à Gaza est sur nos mains et non sur celles du Hamas, et nous ne pourrons jamais échapper à cette responsabilité." "J'aime Gaza", écrit Gideon Levy dans sa préface pour les lecteurs français. Les articles ici réunis sont à la fois un plaidoyer et un réquisitoire, et aussi une raison de se réconcilier avec le journalisme.
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