L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
« Fuir, il faut fuir... » Lev Tolstoï a 82 ans. Dans la nuit du 27 au 28 octobre 1910, il quitte en secret de sa femme la propriété familiale de Iasnaïa Poliana, pour fuir sans savoir où la tragédie de l'amour-haine conjugal. « Je m'en vais dans la solitude », lui écrira-t-il. Le soir du 31, il s'arrête dans la petite gare d'Astapovo où il mourra le 7 novembre. Que s'est-il passé ? A l'aide des Carnets de l'écrivain, Alberto Cavallari tente de percer les mystères de cet art de la fugue sur lequel Tolstoï composa ses dernières heures.
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