"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Dans les récits du XIXe siècle, on a peur de la nature et du surnaturel, mais aussi de la guerre, du peuple, du criminel, de soi-même... Passion du récit, présente dans les divers genres romanesques ainsi que dans les contes et nouvelles, la peur émerge sur fond de Terreur, de conflits militaires et politiques, de transformations sociales et artistiques profondes. Elle se dresse également sur un arrière-plan scientifique en partie renouvelé.
Quelles formes prend-elle selon les personnages mis en scène ? Quelle représentation de l'espace induitelle ? Comment nourrit-elle la composition et la matière dramatique du récit ? Quel regard les écrivains portent-ils et nous amènent-ils à porter sur ceux qui l'éprouvent ?
L'ouvrage s'interroge sur la fécondité de la peur pour la fiction narrative, y compris dans le détail de son style ; il déplace donc l'intérêt de l'action à la passion. Il met de plus en perspective sa configuration littéraire en mobilisant les représentations non littéraires de ce temps ou du nôtre. Ce faisant, il cherche comment fiction et diction contribuent à modeler la pensée de la peur, autrement nommée crainte, angoisse, panique collective.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !