L'absurdité cache en moi les impulsions de mon Meursault retrouvé, son Dieu rejeté dans un fossé à la suite d'un accident de circulation mortel. Camus est mort comme ma mère, comme Chokri, comme Ferhat. Ma mère m'a donné ce corps à écrire pour m'effacer, la mère de Chokri comme la mère de Farhat m'offre l'audace de m'écrire en signes d'action !
À quoi bon vivre quatre-vingts ans pour déclarer en fin de compte son impatience, comme prétendait le poète d'ante-Islam Zouhaier Ibnu Abi Salma ?
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année
