80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Un cri, une arme, le secret, de ses mille et une elles, caché dans les entrailles de son lipstick. C'est au son, de sa peau, de sa voix, de femme matriochka, fétichiste des battements aigus de l'amour. Qu'elle hurle, ce Oui majuscule, pour vivre ces incendies, accidents de sentiments, tatoués à même les os.
C'est l'âme d'un violoncelle, qui ne peut s'empêcher, de saigner sur le papier.
Le murmure, d'un talon aiguille, en fuite au coeur d'une nuit sauvage.
Elle est l'encens du soir, le rouge primitif de l'aurore, qui dévore toutes réalités.
Ces points de suspension, qui caressent sans s'arrêter, les mille milliards de zones érogènes du mot liberté.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année