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Fanche le baleinier

Couverture du livre « Fanche le baleinier » de Pierre-Jean Yvon aux éditions Pascal Galode
Résumé:

Francis Goïcoechéa, appelé Franche, est né en 1849 à Fontarabie dans le pays basque. Descendant d'une famille de terre-neuvas, il entend dès son premier âge des histoires maritimes qui le font rêver. Devenu orphelin et malgré toutes les mises en garde concernant sa vie qui risque d'être un... Voir plus

Francis Goïcoechéa, appelé Franche, est né en 1849 à Fontarabie dans le pays basque. Descendant d'une famille de terre-neuvas, il entend dès son premier âge des histoires maritimes qui le font rêver. Devenu orphelin et malgré toutes les mises en garde concernant sa vie qui risque d'être un enfer, il ressent l'impérieux besoin de partir pour aller à la rencontre des grands animaux marins. Il quitte Biarritz en 1868 et n'y reviendra jamais.
Parti de Bordeaux, il séjourne dans les îles Saint-Pierre-et-Miquelon et échoue à Nantucket puis à New Bedford, villes du Massachussets, et enfin à San Francisco sur la côte ouest des États-Unis. Ce sont les trois principaux ports d'attache des chasseurs de baleines et de cachalots pendant tout le 19e siècle, époque la plus florissante de l'industrie baleinière.
Fanche effectuera de nombreuses campagnes de pêche sur toutes les mers du globe, celles relatées se situent près des côtes de l'Amérique du Sud et dans l'océan Pacifique. Jalonnée de joies et de peines, sa vie est une fresque maritime témoignant de ces pêches méconnues. Instruit et cultivé, il franchira tous les grades baleiniers pour finir capitaine puis armateur, et prendra sa retraite à Saint-Malo, en 1907. Vivant au rythme des marées, il y trouvera un repos bien mérité auprès d'une femme qui saura le comprendre.
À partir de sources historiques et de faits réels, la vie de Fanche est une extraordinaire aventure humaine où l'amour est omniprésent. Elle embarquera le lecteur dans de frêles embarcations où l'homme défie les grands cétacés. Plus qu'une chasse, il s'agit de véritables combats et la maxime " Il y a trois sortes d'humains : les vivants, les morts, et ceux qui vont sur l'eau " y prend tout son sens.

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