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Aime, on s'y aime, on s'y perd, on les fait. Les fêtes sont un savoir-faire, un savoir-vivre et un savoir-mourir. Une joie d'abandon. Il ne viendrait à personne l'idée de contester les fêtes pomponnées : fêtes privées, Palace dans les années 1980, yachts, fantaisies du Fouquet's, Ibiza, tout ce qu'on ne sait pas.
Mais on conteste à tout bout de champ les fêtes populaires: fêtes "vulgaires", fêtes "excessives", fêtes "alcoolisées", fêtes "braillardes", "violentes", "dévergondées"... Mais oui, mais oui !
Pomponnées ou populaires, les Fêtes, on n'y assiste pas. On y va. On n'y participe pas : on les fait ou on ne les fait pas. Avec leur extraordinaire festival de musiques de rue, de chants, leur joie collective, leur puissance d'attraction, leurs délires consentis, les Fêtes de Bayonne servent ici de point de départ.
Universelles, elles ne sont pas les plus ceci ou les plus cela...
Mais, de toutes les fêtes connues, ce sont d'assez loin les plus "fêtes de Bayonne". Pas plus. Pas moins. Les faire de 63 façons différentes depuis 1949 donne quelques idées.
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