80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
« Tous ceux qui choisissent - comme Stendhal - l'étude des
faits pour en faire une base des raisonnements et des jugements,
deviennent automatiquement dénonciateurs des préjugés de
leur époque », écrit Anna Jasinska dans l'avant-propos de cet
ouvrage.
L'auteur nous propose ici le dernier volet de sa trilogie intitulée
Pauca intelligenti (Peu de paroles suffisent à qui sait comprendre)
avec le souci d'une conclusion brillante et érudite, tant sur la
recherche de la vérité et du bonheur que sur l'espoir de préserver
la civilisation des Hommes.
Si, pour Henri Beyle, le « Rebelle », il n'y a pas de bonheur
possible sans vertu et justice (il est un précurseur déterminé
de l'anti-racisme), d'autres « rebelles » font écho à ses propos
à travers le Temps et l'Espace : hommes de science, Gens de
lettres, philosophe.
Camille Flammarion, Théodore Monod, Blaise Cendrars, Nancy
Cunard, Alexandre Vialatte, José Ortega y Gasset ... Ces
chercheurs de vérité sont comme des familles d'esprit qui se
transmettent le flambeau, comme des « passeurs » qui nous
accompagnent.
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