80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Le 7 avril 2020, alors que les règles sanitaires imposées lors du premier confinement s'appliquent avec une rigueur maximale, un homme meurt seul dans une unité de soin. Sa famille se voit signifier qu'aucune cérémonie ne sera autorisée.
Dans une chronique de ces adieux volés, empêchés, son fils, parle de ce que notre rapport à la mort veut dire de nous-mêmes. Alors que la France découvre avec sidération la rapidité et la facilité avec laquelle des restrictions de liberté vertigineuses sont mises en place, un virus dont on ne connaît rien, une communication politique cacophonique et un isolement déprimant, il parle de la déshumanisation d'une société obsédée par la gestion néolibérale et dessine en creux un grand amour pour la vie qui bat malgré tout.
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