"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Huis clos interstellaire...
« Un robot ne peut porter atteinte à un être humain, ni, restant passif, permettre qu'un être humain soit exposé au danger. » (Première Loi de la robotique d'Asimov, 1942) Pourtant, il ne s'agissait que d'une simple mission de routine, terminer le démantèlement de la Station Spatiale Internationale (ISS), et puis tout a dérapé... Commotionné, je n'avais plus aucun souvenir de l'origine de ce chaos. Des giclures rouges constellaient ma combinaison blanche et du côté gauche de ma tête, mes cheveux étaient poisseux de sang coagulé. Je m'appelle Jonathan Rives, spationaute sur la dernière mission de l'ISS.
«... enkystée dans mon cerveau comme une tumeur, cette charge inextinguible et omniprésente, diffusait ses sécrétions empoisonnées, prenant insidieusement possession de mon esprit, au point de devenir mienne. » « J'avais vainement cherché un signe d'empathie dans l'expression de mon visage, mais rien ne transparaissait, pas même l'esquisse d'un rictus ni un imperceptible battement de paupières. » « Il avait trouvé en moi l'allié idéal, son exécuteur des basses oeuvres. » « Je redoutais qu'il fasse de moi son esclave galactique. » Ils m'appellent Mike. Je suis le robonaute de troisième génération de l'ISS. « Les...les humains ne sont pas...pas fiables... dominés par leurs émotions... pro...provoquer chez eux des réactions irrationnelles pouvant faire échouer la mission.... échouer la mi...mission. »
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