"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Peur du déclin, fermeture sur soi, montée des populismes. L'Europe semble traumatisée par sa perte de centralité dans le processus de mondialisation. Or l'histoire « globale » montre bien que la prééminence européenne, ou occidentale, comme l'inévitabilité du capitalisme, sont des constructions idéologiques et historiques, et invite donc à sortir du fatalisme pour repenser l'avenir de l'Europe dans la mondialisation. Philippe Minard, Romain Betrand, Philippe Norel et Nicolas Léger analysent ce décentrement du regard, à travers des exemples historiques mais aussi littéraires (notamment 2666 de Roberto Bolaño).
Jean-François Laé et Numa Murard nous livrent une « chronique de l'endettement permanent », au plus près des difficultés ressenties par ceux qui vivent au jour le jour, dans une économie où les solidarités se délitent. A retrouver également, un texte de Jean-Louis Violeau sur le droit d'auteur en architecture, des analyses de la réforme de l'Eglise par le pape François, un récit de voyage dans les marges orientales de la Russie, et bien d'autres sujets.
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