80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Ce dernier chef d'oeuvre d'Andrés Morales approfondit l'analyse des sujets qui l'ont toujours inquiété ; la mort, l'amour, la solitude... Mais cette fois il risque d'avantage : donner la parole, écrite, aux êtres relégués du pouvoir, aux personnes qui ne savent pas écrire. Ici, il ne parle pas à place des autres mais crée une polyphonie. On rencontre le simple paysan mexicain qui dicte une lettre d'amour, en passant par l'épitre dicté par l'empereur au scribe, la lettre d'un suicidaire juif ou le chroniqueur nahuatl.
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