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Du clos « Anna » en passant par le petit chemin, une promenade dans ma poésie.
Je marche par les rues en été, cherchant les traces de mon enfance, moments oubliés du temps d'errance, son ombre passe vers l'éternité.
Mon quartier, c'est ma patrie, mon village, c'est un havre où ma mémoire se réfugie dans mes moments de nostalgie, cette « saudade » contractée en fréquentant de trop près le Brésil.
Ces chocs oisifs de mes jours anciens sont des remèdes pour mes neurones et pour recharger mes forces perdues.
La rue de mon enfance chérie, la grande maison, l'interminable musique des soirs quand les étés sont sans vent, je les reconnais et je les retrouve tous. Mais je garde les yeux toujours ouverts sur les heureux moments vécus hier et les rêves à vivre aujourd'hui.
Pourtant le bonheur n'est jamais total. C'est comme un immense casse-tête auquel toujours manque un morceau, c'est un train pris au hasard du temps qui passe mais jamais ne s'arrête dans la gare où attendent les souvenirs.
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