Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Une certaine lecture de la Préface « Orphée noir » de Jean Paul Sartre interroge, dans une perspective imagologique, le rapport entre ce personnage de la mythologie grecque et les poètes noirs que Léopold Sédar Senghor présente dans son Anthologie de la nouvelle poésie nègre et malgache de langue française. En effet le projet d'Orphée de descendre aux Enfers pour récupérer Eurydice rappelle celui des poètes nègres qui, dans leur désir de retrouver l'Afrique originelle, initient un mouvement de descente aux sources. L'analyse convoque des niveaux qui permettent de lire deux expériences, mais aussi deux aventures en rapport avec la chronologie des événements. Après l'évocation de l'Afrique, terre souillée, cette autre « Eurydice » que les poètes noirs de l'Anthologie veulent sortir de l'« Enfer », l'analyse, dans la deuxième partie,évalue le prix de sa rédemption dans un contexte politique non encore favorable à l'émancipation des peuples noirs.La réflexion,dans sa dernière partie éclaire les misères et splendeurs de l'aventure orphique de nos poètes.
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